Article aléatoire
Je suis tombé sur un dico qui donne des mots au hasard. J'ai voulu en faire un article. Pour info la liste est: albien, cédrite, foulonnier, introspecter, octennal, populariser, périmétraux, réémailler, réépancher, téniasis. J'en profite pour dire que je connais pas vraiment tous les mots. Et que je cherche pas la définition pour plus de fun.
Il était une fois une jeune femme du nom de Marie-Alphonsette* qui vivait dans la grande mais non moins extraordinaire ville de Paris**. Elle vivait tranquillement sa vie, sa situation professionnelle la satisfaisait bien que son poste ne soit pas le plus connu. Elle occupait en effet le rôle de planeur stratégique dans une petite entreprise de publicité locale. Non, elle ne passait pas son temps aux commandes d'un avion pour larguer des tracts à des points stratégiques, même si cela ne lui aurait clairement pas déplu. Son job consistait plutôt à diriger la stratégie commerciale de l'entreprise. Et ça en jette pas mal, il faut l'avouer. Ca n'étais pas un métier évident, mais elle s'en sortait bien, et elle entendait bien pouvoir populariser cette branche métier auprès des générations à venir.
Un jour, une perspective bien étrange s'ouvrit à elle. Une pharmacie voulait créer une publicité pour un nouveau produit contre le téniasis, en échange de quoi ils gagneraient à la fois un pourcentage de la recette du susdit produit, ainsi qu'une réduction sur leurs produits, et leur éternelle reconnaissance, chose dont Marie-Alphonsette n'était cependant pas spécialement friande. Après diverses combats internes avec elle même et avec son entreprise, elle décida de répondre par la positive. Et ce fut une bonne décision. Les chiffres d'affaires montèrent, son salaire aussi.
Une nuit cependant, en plein milieu d'un rêve dans lequel elle se félicitait pour son travail, quelqu'un entra chez elle. Toujours endormie, Marie-Alphonsette ne se doutait de rien. La personne s'avança, sans un bruit, pénétra dans la chambre, et la toucha sur le front. Comme par magie, elle apparut dans le rêve. Elle brandit un papier en direction de Marie-Alphonsette et dit:
"Introspection du travail, je suis ici car j'ai entendu des rumeurs pour le moins suspectes et circonspectes vis à vis d'un contrat pour le moins véreux et frauduleux avec une pharmacie, et je suis donc venu pour introspecter. Veuillez descendre du véhicule et me montrer vos papiers d'identification".
Marie-Alphonsette sortit donc de son planeur, pour le moins paniquée, et chercha les papiers demandés. Horreur, elle les avait laissés dans la poche de son pantalon, qu'elle avait mis à la machine avant de se coucher. Ils étaient donc hors d'atteinte, hors du rêve.
"Heeeeeeeeeeeeeeu, c'est que..." bafouilla-t-elle.
"Vous n'avez pas vos papiers ? J'ai bien peur de devoir vous amener au poste d' introspolice pour vous mettre en détention provisoire."
"NON!" hurla-t-elle avant de se réveiller en sueurs.
"Relax, c'était une blague", s'écria l'inconnu dans sa chambre, "je suis juste venu vous cambrioler!"
"Vous m'avez flanqué une de ses trouilles ! Vilain foulonnier !"
"Pardon ?"
"Non rien, allez-y, prenez ce que vous avez à prendre et tirez-vous!"
"Merci madame, bonne nuit!"
"Bonne nuit!"
Le lendemain, Marie-Alphonsette se réveilla sur le sol, nue, il ne restait rien ni sur elle ni nulle part dans sa maison, le voleur avait tout pris. "Et dire que j'avais lancé une machine hier", pensa-t-elle. Ni une ni deux, elle se leva, sonna chez son voisin, lui expliqua tout, appela la police et attendit patiemment chez elle.
"Bonjour, je suis Patiemment***, inspecteur de police! Je vois que madame est nue, ont-ils pris autre chose d'intéressant ?"
"Il n'y a plus rien dans ma maison !" répondit l'intéréssée.
"Rien d'intéréssant" nota Patiemment sur son calepin, avant de pénétrer dans la maison.
Quelques heures plus tard, il revint.
"Madame, après avoir fouillé tous les alentours périmétraux, je pense pouvoir certifier que vous avez été victime d'un vol. Alors pour l'instant je sais p'albien qui a fait ça, mais je vous promet que nous allons le retrouver, ne serait-ce parce que ça m'ennuie de voir une femme nue dans une aussi grande maison.""
"Merci inspecteur"
Sur ce dialogue sans queue ni tête, je vais arrêter là l'expérience pasque ça commence à devenir plus lourd que drôle en fait, alors vous pouvez retourner a vos occupation, vous faire réémailler vos dents, ou bien réépancher votre soif en buvant quelques verres de cédrite d'un cru octennal.
BISOUS. LOL
MDR
*Notez bien que les noms de personnage sont complètement tirés de mon imaginaire mais fait de sorte qu'ils soient à la fois possible mais le moins probable possible. Et ce dans le seul but d'ancrer le récit dans la réalité tout en ne faisant de tort à personne. J'espère que vous comprenez, parce que moi je suis déjà perdu.
** Bon par contre pour les noms de ville j'ai la grosse flemme de chercher.
*** Et là aussi, c'était juste pour le jeu de mot foireux.
Il était une fois une jeune femme du nom de Marie-Alphonsette* qui vivait dans la grande mais non moins extraordinaire ville de Paris**. Elle vivait tranquillement sa vie, sa situation professionnelle la satisfaisait bien que son poste ne soit pas le plus connu. Elle occupait en effet le rôle de planeur stratégique dans une petite entreprise de publicité locale. Non, elle ne passait pas son temps aux commandes d'un avion pour larguer des tracts à des points stratégiques, même si cela ne lui aurait clairement pas déplu. Son job consistait plutôt à diriger la stratégie commerciale de l'entreprise. Et ça en jette pas mal, il faut l'avouer. Ca n'étais pas un métier évident, mais elle s'en sortait bien, et elle entendait bien pouvoir populariser cette branche métier auprès des générations à venir.
Un jour, une perspective bien étrange s'ouvrit à elle. Une pharmacie voulait créer une publicité pour un nouveau produit contre le téniasis, en échange de quoi ils gagneraient à la fois un pourcentage de la recette du susdit produit, ainsi qu'une réduction sur leurs produits, et leur éternelle reconnaissance, chose dont Marie-Alphonsette n'était cependant pas spécialement friande. Après diverses combats internes avec elle même et avec son entreprise, elle décida de répondre par la positive. Et ce fut une bonne décision. Les chiffres d'affaires montèrent, son salaire aussi.
Une nuit cependant, en plein milieu d'un rêve dans lequel elle se félicitait pour son travail, quelqu'un entra chez elle. Toujours endormie, Marie-Alphonsette ne se doutait de rien. La personne s'avança, sans un bruit, pénétra dans la chambre, et la toucha sur le front. Comme par magie, elle apparut dans le rêve. Elle brandit un papier en direction de Marie-Alphonsette et dit:
"Introspection du travail, je suis ici car j'ai entendu des rumeurs pour le moins suspectes et circonspectes vis à vis d'un contrat pour le moins véreux et frauduleux avec une pharmacie, et je suis donc venu pour introspecter. Veuillez descendre du véhicule et me montrer vos papiers d'identification".
Marie-Alphonsette sortit donc de son planeur, pour le moins paniquée, et chercha les papiers demandés. Horreur, elle les avait laissés dans la poche de son pantalon, qu'elle avait mis à la machine avant de se coucher. Ils étaient donc hors d'atteinte, hors du rêve.
"Heeeeeeeeeeeeeeu, c'est que..." bafouilla-t-elle.
"Vous n'avez pas vos papiers ? J'ai bien peur de devoir vous amener au poste d' introspolice pour vous mettre en détention provisoire."
"NON!" hurla-t-elle avant de se réveiller en sueurs.
"Relax, c'était une blague", s'écria l'inconnu dans sa chambre, "je suis juste venu vous cambrioler!"
"Vous m'avez flanqué une de ses trouilles ! Vilain foulonnier !"
"Pardon ?"
"Non rien, allez-y, prenez ce que vous avez à prendre et tirez-vous!"
"Merci madame, bonne nuit!"
"Bonne nuit!"
Le lendemain, Marie-Alphonsette se réveilla sur le sol, nue, il ne restait rien ni sur elle ni nulle part dans sa maison, le voleur avait tout pris. "Et dire que j'avais lancé une machine hier", pensa-t-elle. Ni une ni deux, elle se leva, sonna chez son voisin, lui expliqua tout, appela la police et attendit patiemment chez elle.
"Bonjour, je suis Patiemment***, inspecteur de police! Je vois que madame est nue, ont-ils pris autre chose d'intéressant ?"
"Il n'y a plus rien dans ma maison !" répondit l'intéréssée.
"Rien d'intéréssant" nota Patiemment sur son calepin, avant de pénétrer dans la maison.
Quelques heures plus tard, il revint.
"Madame, après avoir fouillé tous les alentours périmétraux, je pense pouvoir certifier que vous avez été victime d'un vol. Alors pour l'instant je sais p'albien qui a fait ça, mais je vous promet que nous allons le retrouver, ne serait-ce parce que ça m'ennuie de voir une femme nue dans une aussi grande maison.""
"Merci inspecteur"
Sur ce dialogue sans queue ni tête, je vais arrêter là l'expérience pasque ça commence à devenir plus lourd que drôle en fait, alors vous pouvez retourner a vos occupation, vous faire réémailler vos dents, ou bien réépancher votre soif en buvant quelques verres de cédrite d'un cru octennal.
BISOUS. LOL
MDR
*Notez bien que les noms de personnage sont complètement tirés de mon imaginaire mais fait de sorte qu'ils soient à la fois possible mais le moins probable possible. Et ce dans le seul but d'ancrer le récit dans la réalité tout en ne faisant de tort à personne. J'espère que vous comprenez, parce que moi je suis déjà perdu.
** Bon par contre pour les noms de ville j'ai la grosse flemme de chercher.
*** Et là aussi, c'était juste pour le jeu de mot foireux.
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